Le développement à l’international des entreprises, de nos jours, passe inévitablement par le monde du web. De ce fait,pour bien se positionner à l’international, cela requiert une profonde connaissance du sujet. En effet, bon nombre de positionnements SEO contiennent des erreurs ce qui représente une contrainte pour les utilisateurs.

Voici donc quelques exemples d’erreurs à éviter pour réussir à bien se positionner à l’international :

Rediriger automatiquement les utilisateurs internationaux vers une page web internationale

En général, on déconseille de rediriger les internautes internationaux directement vers une page internationale sans leur donner la possibilité de la sélectionner de leur propre chef. En effet, il ressort que les utilisateurs se sentent parfois submergés quand ils sont subitement réorienter. C’est beaucoup plus pertinent de leur proposer la version internationale adaptée à leurs références géographiques ou autres détenues par Google tout en leur permettant de rester sur la page initiale.

Maintenir un même langage pour des versions différentes d’une région

Lors de la segmentation par plusieurs pays, certaines pages réutilisent le même langage pour des endroits différents sur la base de la langue parlée. Or, des pays peuvent parler la même langue et avoir des expressions et comportements très différents. Par conséquent , il est très important d’adapter le langage de la page selon le public ciblée dans la région. Un même pays peut avoir des expressions différentes selon les régions de celui-ci. De ce fait, il est primordial  que l’utilisateur puisse se retrouver quand il consulte la page web.

Utiliser le ccTLD au lieu du gTLD

Lorsque vous êtes sûr de ne pas vous développer à l’international. L’usage du ccTLD (“country code top-level domains” tels que .fr, .uk,.ma) est le plus adapté. Cependant, les sites qui désirent se développer à l’international et qui possèdent le ccTLD peuvent faire face à certaines complications. On ne peut pas utiliser les ccTLDs pour atteindre les pays étrangers.C’est donc recommandé de se doter, dès le départ, d’un gTLD (“generic top-level domains” comme par exemple .com, .org, .net). Pour faciliter les opérations au moment de l’expansion internationale.

Usage de domaine par continent au lieu du gTLD

Etant donné que Google n’autorise pas encore la segmentation par continent, le fait d’avoir recours à des domaines de large envergure tels que .eu ou .asia pour viser les internautes ne serait pas optimal. Il serait plus judicieux d’opter pour un gTLD et de spécifier les différents pays à l’aide du href land afin de permettre à Google de géolocaliser les opérations.